On connaît tous cette vulgate scientifique moderne, enseignées avec l’apparence de la vérité absolue dans nos écoles : l’univers a près de 14 milliards d’années et la terre a de son côté environ 4,5 milliards d’années d’existence. On connaît aussi toute cette vision de lente mise en place de la nature : les couches géologiques, les continents et leur dérive, les dinosaures, animaux fabuleux disparus il y a des millions d’années.

Mais alors, comment réconcilier ce récit officiel et la découverte de sang sur des os de dinosaure ? Les cellules rouges sanguines microscopiques ont été mises en évidence par l’analyse immunologique d’hémoglobine. Après ces cellules, ce sont même des tissus tendres et fibreux, ainsi que des vaisseaux sanguins intégraux. Pour toutes les références, je vous laisse vous référer au numéro 88 de l’indispensable magazine « Science et Foi », dédié à la phénoménale œuvre de Fernand Crombette, ce catholique français génial qui a étudié harmonisé les sciences avec la bonne approche : la Bible première, la science seconde.

Les deux récits sont évidemment inconciliables. Il n’est pas possible que des tissus fibreux puissent perdurer plus de 60 millions d’années. On se demande bien comment des os sans matériaux organiques ont pu recevoir ces tissus et cellules obligatoirement récents. La seule chose qui finalement ne colle pas, c’est la datation à 65 millions d’années minimum pour n’importe quel ossement attribué à un dinosaure. Je rappelle que les méthodes de datation n’ont aucune valeur scientifique. Elles ne respectent pas le caractère mesurable, expérimentable et répétable de ce qui est proprement scientifique. Il est évident que l’on ne peut pas enfouir un cadavre d’animal, attendre 65 millions d’années et vérifier que la datation fonctionne bien, et ceci à plusieurs reprises. Et même si ces théories semblent séduisantes sur le papier, la présence bien réelle de ces cellules sanguines et de ces tissus si particuliers, montre que ces gentilles théories doivent rejoindre le cimetière des théories scientifiques incompatibles avec la réalité.