Nous avons fêté l’année dernière le cinquantenaire de la mission Apollo 11, qui en juillet 1969 voyait le premier alunissage humain. Inutile de vous retracer cet événement historique. Vous le connaissez bien évidemment. Je dis « nous » car, lorsque Neil Armstrong prononce ses paroles historiques, c’est l’humanité qui est engagée. Il s’agit « d’un grand pas pour l’humanité » dit-il. Les USA, à ce moment se hissent comme aboutissement de l’humanité. Armstrong, à ce moment là, est l’aboutissement d’un programme Apollo, qui doit au génie de ses techniciens, lesquels sont les héritiers de la suprématie technologie occidentale (la domination européenne avant la seconde guerre mondiale est totale), dans le sillage des grands noms issus de la renaissance : Newton, Kepler, Galilée, Copernic, eux même héritiers des grands mathématiciens arabes et des premiers esprits scientifiques de l’antiquité hellénique. Voilà pour la vulgate scientifique sous son angle historique. La mission Apollo 11 reste la mission emblématique de la NASA. Cette agence gouvernementale américaine, mérite qu’on s’intéresse à elle, pour débuter cette réfutation du scientisme.

La NASA est créée en 1958, dans une optique de conquête spatiale où les soviétiques ont une avance certaine : premier envoi réussi d’un satellite, premier envoi réussi d’un animal dans l’espace, puis d’un homme, le fameux Youri Gagarine. L’opération Paperclip, qui sert à récupérer les savants nazis pour bénéficier de leur savoir faire pour les intérêts américains aura permis entre autre de rapatrier Wernher von Braun, le créateur des V1 et V2 qui avaient bombardé l’Angleterre pendant la seconde guerre mondiale. C’est lui qui sera l’artisan des premiers succès américains, avec différentes générations de fusées, jusqu’au programme Apollo. Néanmoins, avant que les américains ne se lancent dans cette conquête spatiale, il est peu connu que Wernher von Braun a dû utiliser les talents de communication de Walt Disney. Ce dernier a fait rêver l’Amérique avec trois films d’animation dédiés à la conquête spatiale, qui furent présentés par von Braun en personne. Une fois le grand public convaincu, les dirigeants américains ont mis en place le programme spatial. La question qu’entraîne la participation de Disney à cette histoire est la suivante : où commence la réalité et où s’arrête la fiction ?



Plusieurs éléments nous laissent à penser qu’une bonne partie – si ce n’est tout - de ce qui provient de la NASA a plus à voir avec la fiction qu’avec la réalité. Dans ce post, je vais me limiter, pour démarrer et y aller progressivement, aux photos satellites de la terre et d’autres planètes. Depuis les années 50, et de plus en plus jusqu’aujourd’hui, l’envoi d’un satellite, malgré toute la folle technicité que cela semble conjurer, est devenu un acte maîtrisé, si ce n’est banal. Il y a aujourd’hui, officiellement, des centaines de satellites orbitant autour de notre planète. Ces satellites ont toutes sortes d’utilisation : militaire, météorologique, guidage type GPS, etc. Et pourtant il est compliqué d’obtenir une simple photo de la terre depuis l’espace. Ce qui devrait être trivial semble compliqué pour les détenteurs de satellites. La photo qui devrait être la plus abondante, est bizarrement la plus rare. Très peu de photos entre 1972 et 2015. Et à chaque fois nous n’avons que des reconstitutions postérieures réalisés sur des programmes informatiques de traitement de l’image à partir de plusieurs photos de la terre. Ceci interroge. En 2015, la NASA a envoyé une sonde très loin de la terre pour prendre, à nouveau plusieurs photos reconstituées à posteriori pour présenter à l’humanité, une « photo » de la terre. Ce que je produis ici est une photo récupérée sur le site officiel de la NASA qui explique cette reconstitution postérieure et précise la technologie EPIC (Earth Polychromatic Imaging Camera).



Au-delà de l’inexplicable bizarrerie de l’impossibilité de prendre une « simple » photo de la terre en entier depuis un des milliers de satellites à disposition, sans avoir à la reconstituer, comme je le montre ici, un graphiste de la NASA s’est amusé à rajouter le mot « sex » en anglais dans les nuages (regardez l’image officielle à l’envers pour vous en convaincre). Cette blague un peu potache a plusieurs niveaux de lecture, quand on remet la variable Walt Disney dans l’équation générale de cette énigme. En effet, il peut s’agir d’un hommage très particulier à Walt Disney, dont les messages subliminels sexuels dans des œuvres pourtant à destination des enfants sont classiques dans son œuvre. Vous pouvez googler ou chercher sur youtube avec les mots clé suivants “Inappropriate Images In Disney Films”. Le terme « sex » dans des nuages est une référence explicite à un message subliminal du Roi Lion 2.

On peut aussi aller à un autre degré de lecture. Là où l’on peut s’arrêter à une plaisanterie grivoise de mauvais goût dans l’univers pourtant présumé sérieux de la science, il faut plutôt comprendre que la NASA produit une représentation du réel que nous sommes censés croire. La NASA est la partie la plus éminente du « monde scientifique » qui a pour mission de donner une représentation du réel à l’humanité.



On peut élargir au travail de la NASA sur d’autres planètes. Lorsqu’on voit les images des autres planètes du système solaire photographiées par la NASA, on constate une pauvreté de résultat. On sent que l’agence américaine travaille à l’économie. Pour Jupiter par exemple, c’est toujours la même face que nous pouvons contempler. Avec les rotations des planètes, il est étonnant que nous ayons toujours les mêmes angles. Pluton, qui se nomme Pluto en anglais, homonyme d’un personnage célèbre de l’univers Disney est toujours présentée avec une topographie où l’on peut très facilement associer le visage du personnage en question. On peut retrouver Mickey sur la lune avec des similitudes entre cratères lunaires et oreilles de Mickey. Pourquoi ? La NASA semble donc proposer une présentation de l’espace qui nous entoure, de façon moqueuse et méprisante. La NASA semble nous dire, et cela l’amuse en même temps : nous vous racontons des contes pour enfants, et cela nous fait rire. Ce mépris semble montrer un sentiment d’impunité assez incroyable.

On peut finir avec le terme en hébreu. Vous savez si vous êtes des lecteurs de ce blog, que le terme hébreu de quelque chose est le révélateur profond de l’essence de cette chose. Ainsi Yeshoua, le vrai nom de Jésus indique « Dieu sauve » ce qui est la fonction ontologique de son être : il apporte le salut. Ainsi, l’essence profonde de la NASA, et cela va nous permettre ensuite d’aller plus loin dans l’étude de son bilan, de la conquête spatiale, de ce que nous savons du monde et de la réfutation du scientisme dans sa globalité, va nous être donné par l’étude de ce nom en hébreu. Beaucoup de conspirationnistes ont déjà mis en exergue que NASA en hébreu signifiait mensonge, mais on leur a rétorqué qu’ils faisaient une erreur en hébreu : noun shin aleph, le terme pour mensonge se prononce nasha, et non pas nasa. Ainsi était faite la démonstration : la NASA n’est pas l’officine du mensonge et de la tromperie. Pourtant, la lettre shin a deux prononciations, indiquées par les massorètes par un point au dessus de la lettre. Si le point est au dessus à droite, il se prononce effectivement « sh ». Comme dans Shalom par exemple. Pourtant, les massorètes nous indiquent que si le signe de vocalisation massorétique est au dessus à gauche, alors le shin se prononce « s » comme dans Sarah (on dit bien Sarah et pas Shara). Ainsi, NASA peut très bien se prononcer NASA en hébreu et pas obligatoirement nasha. Le terme lié à mensonge se prononce effectivement nasha, mais on peut tout à fait le lire nassa, et ainsi l’identité profonde de la NASA est double : nasha qui signifie tromperie, manipulation et nassa qui signifie porter, soulever.



Ainsi, j’ai une agence officielle spatiale, qui a été vendu par une société, Disney, qui se permet de mettre des messages subliminaux sexuels dans des œuvres à destination du public enfantin. Son programme spatial a été supervisé par un ancien major SS allemand dont les travaux ont causé des centaines de morts en Angleterre. Malgré des budgets colossaux en milliards de dollars, cette officine n’est pas capable de produire autre chose que des recompositions graphiques dans lesquelles on trouve des allusions à Walt Disney dans son travail de photographie de notre monde. Tout ceci a une forte odeur de mensonge et de plus le terme décrivant l’essence profonde de cette agence spatiale est le mensonge en hébreu. On terminera en disant que le logo de la NASA semble décrire une sorte de langue de serpent, ou bien ressemble tout de même à un T tordu, ce qui avec les lettres de NASA, permet de reconstituer les lettres SATAN. Les indices s’accumulent. Pour les esprits étroits qui se targuent d’être cartésiens, tout ceci est sans valeur. Pour ceux qui savent que les forces du mal sont à l’oeuvre dans notre monde, et qu’elles sont fières de signer leurs méfaits, les choses exposées ici pourront avoir un intérêt. Si vous restez dans le domaine de la preuve irréfutable, vous êtes encore prisonnier du paradigme scientifique. Ici, nous avons des conjectures, des indices. La Bible, parle abondamment de ne pas être trompé : le Christ (“Jésus leur répondit : Faites bien attention que personne ne vous induise en erreur” (Mt 24:4) et Pierre (“Ces enseignants de mensonge introduiront subtilement parmi vous des erreurs qui mènent à la perdition” 2 Pi 2:1) parlent beaucoup de cela. Il y a une tromperie énorme qui va venir pour tromper les gens. Même des élus vont tomber dans cette tromperie. Je vous demande juste de commencer à réfléchir dans ce paradigme : et si tout ce qu’on m’avait dit depuis la conquête spatiale était faux ? Et si c’était cela ce qui peut même faire tomber les élus ? Et si c’était cela faisait partie de la fable dont nous avertit le NT ?